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Comment vaincre le totalitarisme islamique ?

par Claude Sicard
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Dans l’ouvrage que François Fillon a fait paraître en septembre dernier Comment vaincre le totalitarisme islamique, ce candidat à la prochaine élection présidentielle nous avertit du danger mortel que présente pour l’avenir de notre pays, et d’une façon plus générale pour l’Europe toute entière, ce que cet auteur appelle « le totalitarisme islamique ». Ce problème de l’islamisme totalitaire est mondial, et François Fillon nous dit : « Si nous n’enrayons pas maintenant ce scénario infernal, c’est bien une troisième guerre mondiale qui va embraser le monde ». Il s’agit donc de la préoccupation majeure que devra avoir notre prochain président, celle de nous protéger contre ce nouveau fléau.

Il est donc utile pour bien comprendre les fondements de l’hostilité que manifestent les djihadistes de Daesh à notre égard, de rappeler quelques éléments fondamentaux de l’histoire, où, dans la longue période, se sont opposées les deux civilisations, la civilisation musulmane fondée sur l’islam, d’un côté, et la nôtre, la civilisation occidentale, fondée, elle, sur le socle judéo-chrétien, que l’on appelait autrefois « la chrétienté ». Et, évidemment, en plus des événements souvent sanglants qui ont jalonnés l’histoire, il y a chez les musulmans radicaux le devoir d’obéissance aux enseignements du Prophète Mahomet qui a délivré aux hommes le vrai message de Dieu, un message qui enjoint aux musulmans la mission d’œuvrer pour soumettre le monde entier à la loi d’Allah.

La chrétienté boute les musulmans hors de l’Europe

L’islam s’est réveillé dans la première moitié du XXème siècle, après une très longue période d’assoupissement. Il avait donné lieu, nous disent les historiens, à une très brillante civilisation au Moyen Âge, tout particulièrement en Andalousie. Puis, à partir du XVIème siècle, le relais fut pris par la civilisation occidentale. La reconquête de l’Espagne commença au début du VIIIème siècle, par la victoire des Espagnols à la bataille de Cavadonga. Le Pape Urbain II lorsqu’il lança son appel à la Croisade, à Clermont, en 1095, inscrivit dans les objectifs des Croisés la libération de l’Espagne. Elle fut difficile, et très lente. De l’autre côté de l’Europe, les Turcs qui avaient envahi l’Europe orientale en 1463 en annexant la Bosnie étaient parvenus, malgré plusieurs Croisades contra turcos lancées en vain par les Papes, à mettre le siège devant Vienne en 1529, sans succès. Ce fut le point extrême de leur avancée, et à partir de là ils furent contraints de battre en retraite. Ce fut d’abord la fameuse défaite de la flotte turque à Lépante, en 1571, puis, les Russes venant prêter main-forte aux Européens réunis dans la Sainte Ligue, les Ottomans ne cessèrent de reculer. Il y eut le traité de Karlowitz d’abord, puis ensuite celui de Passarowitz. Finalement les Turcs perdirent tous les territoires qu’ils avaient conquis en Europe orientale, et à la fin de la première guerre mondiale l’empire ottoman fut démantelé par les Occidentaux. On sait qu’ensuite, Mustapha Kémal, le père de la nouvelle nation turque, un général couvert de gloire et athée, abolit le califat en 1924. Entre temps, les Espagnols avaient réussi à chasser d’Espagne les envahisseurs musulmans, et après 7 siècles d’occupation de la péninsule, la Reconquista s’acheva victorieusement par la prise de Grenade, en 1492. Le Pape Innocent VIII accorda aussitôt le prestigieux titre de « Rois très catholiques » à Isabelle de Castille et à son époux Ferdinand d’Aragon. Partout, dans la ville de Rome, on alluma des feux de joie. La prise de Grenade consola les chrétiens de la perte de Constantinople que les Turcs étaient parvenus à enlever en 1453 : on sait que Mehemet II, leur sultan, monté sur son fier coursier arabe, pénétra au galop dans Sainte Sophie, proclamant ainsi « la victoire d’Allah ».

Quand les grandes puissances européennes dominaient le monde

Au XVIIIème siècle les puissances européennes entreprirent d’aller conquérir un très grand nombre de pays musulmans, le mouvement repartant donc, alors, dans l’autre sens : les Français allèrent s’installer en Afrique du Nord, en Syrie et au Liban, les Italiens en Libye, les Anglais en Egypte et en Irak, les Hollandais en Indonésie… Ce fut pour les Européens la belle époque de la période coloniale, une période où l’on vit les Occidentaux dominer complètement le monde. Au siècle suivant, avec l’aide de la IIIème Internationale créée à Moscou en 1919, les pays qui avaient été colonisés entreprirent de recouvrer leur indépendance. Partout, les leaders des mouvements indépendantistes s’appuyèrent sur l’islam : ce fut le cas en Algérie avec le cheikh Ben Badis, en Tunisie avec le cheikh Abdel Aziz Taabi, en Egypte avec la création par Hassan al Banna du mouvement des Frères Musulmans en 1928, et en Libye avec Mohamed Idriss as Sanoussi, le chef de la confrérie sénoussite. Ces mouvements de luttes victorieuses contre les puissances coloniales s’achevèrent par la guerre d’Algérie, qui fut très dure, les Algériens réussissant finalement à obtenir de la France leur indépendance en 1962 bien que le sort des armes ne leur fut pas finalement favorable. Aussitôt, tous les Européens qui étaient installés dans ce pays de longue date, abandonnèrent tout sur place pour aller se réfugier dans la mère patrie, refusant en somme de devenir des dhimmis. Un sort, comme l’on sait, fort peu enviable.

Le monde appartient à Allah et à son Prophète

Plus tard, en 2006, suite à l’intervention américaine en Irak, on vit se créer, à cheval sur l’Irak et la Syrie, un nouvel État islamique appelé Daesh, un proto-État dont Abou Bakr al Bagdadi s’empara en 2006 pour en faire un califat, avec l’intention d’étendre progressivement celui-ci au monde entier, selon la doctrine de l’islam. On sait, en effet, qu’un hadith rapporte que le Prophète Mahomet a dit à ses fidèles : « Le monde appartient à Allah et à son Prophète ». L’État islamique a donc entrepris de mener une guerre sans merci contre les incroyants, et tout spécialement contre les pays occidentaux qui avaient voulu dominer la planète : ces pays, en effet, constituent pour les musulmans le « dar al harb » (le pays de la guerre). L’État islamique entreprit de commettre de très nombreuses atrocités dans différents pays, et tout particulièrement en Europe, pour déstabiliser ces pays et y faire régner le chaos. L’ONU a donc aussitôt réagi, mettant sans hésiter au ban des nations ce nouvel État, qu’elle accusa de crimes contre l’humanité, de nettoyage ethnique et de génocide. Et une coalition internationale s’est finalement constituée pour lutter contre ce fléau.

Il est temps d’être lucides

Le candidat à l’élection présidentielle française de 2017, François Fillon, a tenu à présenter dans son ouvrage ses projets pour lutter contre ce fléau qu’est le totalitarisme islamique, un danger mortel, nous dit-il, pour les pays occidentaux, et tout particulièrement pour la France, pays qui du fait de sa longue histoire est aujourd’hui la cible favorite des djihadistes. Les Français ont joué, il ne faut pas l’oublier, un rôle majeur dans les Croisades, et ils furent par la suite de grands colonisateurs ayant la prétention d’imposer leur culture à bon nombre de pays musulmans. Ce danger qu’est le totalitarisme islamique menace tous les pays du vieux continent européen, un continent qui a été le berceau de la civilisation occidentale. Aussi, François Fillon nous dit en introduction à son ouvrage : « La France que nous aimons est aujourd’hui menacée, pas seulement dans son intégrité, mais aussi dans son mode de vie, dans sa liberté, dans ce qui constitue le cœur de sa civilisation : nous avons donc l’ardente obligation de tout entreprendre afin d’éviter aux générations futures de vivre dans l’angoisse, dans la peur et la démission ». Pour entreprendre cette lutte il faut, dit l’auteur, du courage et de la lucidité : nous sommes en présence d’un conflit mondial, et François Fillon nous engage à prendre enfin conscience des réalités, des réalités nous dit-il, que nos dirigeants nous cachent afin de ne pas se fâcher avec le monde arabe. « C’est notre survie qui est en jeu », nous dit-il sans ménagements. Cette conviction que nous livre François Fillon constitue l’essentiel de son ouvrage.

Dans un premier temps, François Fillon, dans son livre, dénonce l’aveuglement dont ont fait preuve jusqu’ici toutes nos élites: « On a désarmé psychologiquement, idéologiquement et intellectuellement les Français », déplore-t-il, et il cite à cet effet l’écrivain algérien Boualem Sansal, récent Grand Prix du roman de l’Académie française qui, très amicalement, nous dit : « La France a fait montre de cécité, de naïveté, d’ignorance ». Nos élites ont voulu masquer, nous dit François Fillon, que ce conflit déclenché contre le monde occidental par les djihadistes de l’EI a pour fondement les enseignements même du Coran, ceci afin d’éviter que la population fasse trop vite un amalgame entre terrorisme et islam. François Fillon qui affiche une excellent connaissance de l’islam nous dit que l’adversaire que nous avons est implacable : la connaissance qu’il a de l’islam sera indubitablement très précieuse pour cet homme d’État s’il parvenait à gagner la prochaine élection présidentielle. Alain Juppé, son principal concurrent, affiche, lui, au contraire, une méconnaissance totale de l’islam, s’enorgueillissant, semble-t-il, de n’avoir jamais lu le Coran. Il se fie, en la matière, aux conseils éclairés du fameux imam de Bordeaux, le très célèbre Tareq Oubrou, un religieux intelligent que le maire de Bordeaux estime au point de l’avoir décoré récemment de la Légion d’honneur. Il s’agit d’un notable que certains observateurs voient déjà comme ministre si Alain Juppé en venait à emporter la prochaine élection présidentielle. Le problème que risque de rencontrer Alain Juppé en se fiant par trop à cet habile tacticien est qu’il existe dans l’islam la notion de taqiya, une disposition qui autorise tout musulman à dissimuler la vérité s’il s’agit d’œuvrer dans l’intérêt de l’islam.

François Fillon estime « qu’un minimum de culture historique est nécessaire pour un dirigeant pour appréhender une modernité de plus en plus complexe. » Ce conflit avec l’islam radical est une nouvelle guerre mondiale et il faut bien savoir, si l’on veut vaincre, contre qui on se bat. On se bat contre l’islam radical qui a pour source la doctrine du Coran. Aussi, François Fillon n’hésite-t-il pas à s’en référer au jeune philosophe musulman Abdenour Bidar, un brillant normalien réformateur de l’islam, qui a très courageusement publié une adresse au monde musulman, en octobre 2014, dans laquelle il lui dit sans ambages: « D’où viennent les crimes de ce soi-disant État islamique ? Je vais te le dire : les racines de ce mal qui te vole aujourd’hui ton visage sont en toi-même : le monstre est sorti de ton propre ventre ».

Quand François Fillon rejoint les thèses de Samuel Huntington

On constate, dans cet ouvrage, qu’en somme François Fillon, sans jamais bien sûr l’avouer, rejoint en tous points les thèses qu’avait exprimées Samuel Huntington dans son fameux ouvrage « Le choc des civilisations » paru en 1996. Cet éminent professeur d’université américain avait annoncé qu’après la chute de l’URSS le monde allait devenir multipolaire, les conflits devenant dorénavant des conflits civilisationnels. Le danger majeur, nous disait alors Samuel Huntington, viendra de l’opposition entre le monde occidental et celui de l’islam, le monde de l’islam s’étendant dorénavant du Mali à l’Indonésie. Cette thèse des conflits entre civilisations avait été réfutée, on s’en souvient, par la plus grande partie des chercheurs universitaires tant aux États-Unis qu’en Europe, au prétexte que la notion de civilisation est floue, imprécise. Et tous les dirigeants européens s’étaient aussitôt employés à rejeter les vues de ce chercheur universitaire, professeur à Harvard et membre du Conseil de sécurité nationale au sein de l’administration Carter.

En fait, on assiste bien, à présent, à un choc de civilisations, et notre premier ministre Manuel Valls n’a pas hésité, d’ailleurs, à déclarer courageusement à l’Assemblée nationale : « Nous ne pouvons pas perdre cette guerre parce que c’est au fond une guerre de civilisation ». Pour atténuer ses propos il est vrai que le Premier ministre avait évité de mettre un « s » à civilisation. François Fillon insiste donc longuement dans son ouvrage pour que l’on cesse de biaiser avec la réalité : « Il s’agit d’une guerre mondiale qui frappe la France, mais aussi d’autres pays d’Europe ». Il cite à cet effet Albert Camus qui avait dit : « Mal nommer les choses c’est ajouter aux malheurs du monde ». Il faut donc affronter la réalité en face : ne biaisons pas, il s’agit bien d’une guerre. Le conflit auquel nous devons faire face puise ses racines dans l’histoire la plus ancienne, nous dit François Fillon, celle de la longue durée, concept cher à Fernand Braudel. Et il insiste, disant : « La montée de l’islam rigoriste qui est à l’œuvre partout dans le monde est une tendance lourde de l’Histoire. Oui, il y a en France un problème lié à l’islam. Nous avons laissé le terreau de la radicalité s’enrichir et s’étendre : nous ne devons pas nous résigner à l’existence de zones de non-droit. Il faut convier nos concitoyens à l’indispensable sursaut ».

Il s’agit donc, pour ce futur éventuel dirigeant de notre pays, de toute évidence, d’un sujet de préoccupation majeur pour tout haut responsable politique : il n’en est pas d’autre qui soit aussi important, pour notre avenir. Tous les autres candidats, d’une manière surprenante, paraissent bien moins mobilisés que lui sur cette menace grave à laquelle notre pays doit faire face.

Les mesures à prendre

Dans la seconde partie de son ouvrage, François Fillon énumère les mesures qu’il prendrait s’il était appelé aux plus hautes fonctions de l’État. Bien évidemment, l’urgence sera, dit-il, de détruire Daesh. Mais la disparition de cet État n’éliminera malheureusement pas les risques d’attentats en Europe, beaucoup de loups solitaires continuant le combat de leur propre initiative. Pour gagner cette guerre François Fillon estime que la victoire ne pourra être obtenue que seulement sur le terrain : il faut donc que les pays de la Région s’y mettent, et que, de notre coté, nous, Occidentaux, nous nous allions temporairement avec la Russie, et que nous admettions, momentanément, d’épauler Bachar el-Assad. Il ne serait pas souhaitable que la victoire sur Daesh soit une victoire des Occidentaux : pour le bon équilibre de la Région, il faut que ce soit une victoire des pays arabes eux-mêmes.

François Fillon se propose de revoir complètement notre politique à l’égard des monarchies du Golfe qui ont un jeu qui n’est pas clair. Et, mieux encore, il faudra parvenir à mobiliser tous les pays de l’UE pour que l’Europe ait enfin une politique étrangère, ce qui n’est pas le cas actuellement. François Fillon nous dit : « Il faut une refondation politique de l’Europe, et renégocier complètement les accords de Schengen pour que nos frontières cessent d’être des « passoires » ».

En matière de politique intérieure, François Fillon, bien que se définissant comme un libéral, estime que « Le libéralisme en France doit reposer sur deux filières : l’État de droit et le contrat, avec un État qui se recentre sur l’essentiel ». Il veut renforcer la Justice par un plan quinquennal d’un milliard d’euros par an, donner davantage de moyens à la police et à la gendarmerie, notamment renforcer les polices municipales et les faire mieux collaborer avec la police nationale. Il indique, par ailleurs, qu’il faudra donner à notre armée les moyens de remplir correctement ses missions, et, pour cela, porter à au moins 2 % du PIB le budget du ministère de la Défense. Par ailleurs, il se propose de réorganiser complètement nos services de renseignements, et il veut construire 16.000 places supplémentaires de prison, dont 5.000 ultra-sécurisées. Et il faudra placer les services pénitentiaires, nous dit-il, sous l’autorité du ministère de l’Intérieur. Pour faire face à la situation actuelle François Fillon se propose de donner à la Cour d’assises spéciale les moyens de traiter 10 fois plus d’affaires qu’elle ne le fait actuellement, et pour cela il faudra créer rapidement trois nouvelles Cours d’assises spéciales sur tout le territoire.

Concernant l’Éducation nationale, François Fillon nous dit qu’en ce domaine tout est à faire. L’école doit permettre aux enfants de s’approprier l’histoire de notre pays, une histoire vieille de quinze siècles, depuis le baptême de Clovis jusqu’à nos jours. Il nous dit : « Être français c’est se sentir chez soi dans une épopée où tout s’enchaîne […] La première condition du sursaut réside dans le respect du passé ». Puis il rajoute : « Nous avons besoin d’être fiers de la France pour défendre son unité, car les provocations des salafistes n’ont pas d’autres objectifs que de détruire cette unité nationale ». L’école doit donc jouer un rôle majeur dans ce domaine. François Fillon plaide donc pour une école primaire qui transmette les valeurs de la République ainsi que les savoirs fondamentaux. Il faudra redonner aux élèves, nous dit-il, le sens de la discipline et leur apprendre le respect des maîtres, et pour cela il serait bon que l’on en revienne au port d’un uniforme. Il veut mettre fin, dès qu’il sera élu, à l’enseignement des langues et des cultures des pays d’origine des élèves, et revoir complètement l’enseignement de l’histoire afin que les petits Français soient fiers de leur pays.

Il nous dit, en conclusion, qu’il faut un redressement moral et économique du pays : « La lucidité et l’ambition doivent présider à un changement de logiciel de la pensée : nous nous devons de faire ce redressement moral, spirituel et politique en commun qui, s’il est mené à bien, est de nature à retisser le lien social et refonder notre nation ».

Claude Sicard
Auteur de « Le face à face islam chrétienté : quel destin pour l’Europe ? »
Et « L’islam au risque de la démocratie », préface de Malek Chebel, chez F.X de Guibert.

 

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3 commentaires

laurent guyot-sionnest novembre 13, 2016 - 8:03 pm

Assez tonique recension
Assez tonique recension
à transmettre à equipe@fillon2017.fr

François Fillon ne mérite-t-il pas d'être au second tour de la primaire ?

bonsoir,

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Candide novembre 14, 2016 - 9:08 am

Preuve par les actes
François Fillon ne prouve pas qu'il fera ce qu'il professe maintenant tout juste avant une élection (primaire à droite). Sablé sur Sarthe (son fief d'origine) est presque devenu une terre d'Islam en quelques années avec le consentement des maires de la communauté de commune, ses affidés. La partition de la France est en cours comme le constate François Hollande (page 592 "Un Président ne devrait pas dire ça")

En février 2015 le maire de la communauté de commune de Sablé sur Sarthe a inauguré avec la préféte de la Sarthe une première mosquée en bafouant ainsi le principe de l'indépendance de l'Etat vis à vis des religions. La construction d'une deuxième mosquée est maintenant actée.
On ne peut plus faire ses courses à Sablé sans rencontrer des femmes voilées tandis qu'on acceuille de plus en plus de migrants sans le consentement des électeurs.

François Fillon est un opportuniste qui sent bien la poussée des idées du FN et cherche à surfer sur ses idées pour récupérer des voix. Tant mieux peut-être mais peut-on faire confiance à un élu qui a été cinq ans le premier ministre de Zarkozy, un Président qui a trompé le peuple français en ne tenant aucun compte de son vote (1995) contre la constitution européenne.

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Gilbert CLARET novembre 14, 2016 - 12:08 pm

Comment vaincre le totalitarisme islamique
Condensé et magistral présentation par Monsieur Claude Sicard du récent ouvrage de Monsieur François Fillon. L'essentiel est dit. Les yeux des français et des européens doivent s'ouvrir en grand. Veulent-ils être ou ne plus être en continuant à s'effacer comme ils le font depuis plus de quarante ans ?

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