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Démographie contre Ecologisme : 5 – 0

par Yves Buchsenschutz
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Selon le fonds mondial pour la nature (WWF), 68 % des populations d’animaux sauvages auraient disparu entre 1970 et 2016, principalement à cause de l’activité humaine. Ce qui, vous en conviendrez, n’est bien entendu pas tout à fait une bonne nouvelle.

Dans le même temps, la population humaine mondiale est passée de 1970 à 2016, de 3,7 Milliards à 7,5 milliards d’individus, soit un doublement tout simplement. Et ce n’est pas terminé, quels que soient les instituts de prévision, même si l’on envisage maintenant une stabilisation, voire une inversion avant les 10 milliards.

À ceci s’ajoute l’évolution de la richesse des hommes : il n’y avait plus, avant la Covid-19, « que » 10 % de pauvres (- de 1,90 $ /jour). En 1970, c’était encore près de 90 % de l’humanité. Comme la consommation de planète par les hommes ne peut que correspondre à la multiplication de leur nombre par leur richesse individuelle, il est quasiment inévitable que les autres espèces en pâtissent.

Ce diagnostic posé, quelle solution propose le WWF ?

 

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3 commentaires

Hubert Lévy-Lambert septembre 17, 2020 - 6:01 pm

Pour un développement démographique durable
Il est évident que la disparition accélérée des forêts, des animaux sauvages, des poissons, des insectes, des oiseaux est liée à l’expansion incontrôlée de l’espèce humaine, notamment en Afrique.
Mais personne n’ose le dire haut et fort, par crainte d’être taxé de racisme ou de néocolonialisme, voire d’islamophobie.
Il serait pourtant facile de freiner cette expansion, sans recourir à une contrainte à la chinoise, en assortissant l’aide des pays riches aux pays africains à la condition d’une mise en oeuvre d’une stricte politique de planning familial.

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Pierre DESROCHES septembre 18, 2020 - 11:41 am

Malthus, Malthus…
Pour freiner l’expansion démographique, nous pourrions commencer chez nous, en cessant au nom de la famille, de promouvoir la natalité, aides qui pleuvent sur des familles nombreuses, souvent d’origine étrangère, et qui, de plus ne sont pas forcément bienveillantes envers leur pays d’accueil…

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Régis Glorieux septembre 19, 2020 - 7:56 am

Les nouvelles espèces
Trop d’espèces disparaissent de notre planète, c’est dommage et certainement dommageable. Mais pourquoi ne parle t-on jamais des nouvelles espèces qui apparaissent ou que l’on découvre encore ?
Il y en a marre de ce pessimisme permanent !

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